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Ardes Dry du latin ARDES brûler et DRY de l’anglais sec, en fait brûler et sécher est le processus de production avec lequel Sapiens réalise ses produits avec un traitement au feu. Ce processus que nous appelons Fireskin 330 indique le temps de combustion, l’extinction de flamme, les températures de production et de stabilisation du bois et le cycle de finition.

Partiellement, oui: seule la version SSB peut être considérée comme un vrai Sho Sugi Ban, car elle respecte les critères classiques de cette antique technique de production.

Ceci est notre brevet de production, réalisé en Italie, et grâce auquel nous réussissons à garantir à nos clients un produit extrêmement plus performant que ceux de l’antique technique Sho Sugi Ban, puisqu’il résout et dépasse les limites que celle-ci présentait.

Hi-Tech est une application nanotechnologique qui garantit aux planches l’aspect typique du bois brûlé tout en évitant la perte de suie et de poudre de charbon, éléments qui empêchent leur utilisation dans les espaces intérieurs, et qui en plus permet de les personnaliser en choisissant des couleurs modernes et innovantes même à partir de bases corten ou métal.

Non. Toutes nos techniques de production reposent exclusivement sur l’usage de cycles d’eau à bases d’huiles ou hybrides (huile-eau), sans aucune émission polluante.

Aujourd’hui en Occident, les deux termes sont utilisés comme des synonymes. À l’origine, il y avait des différences en fonction du type de bois qui était choisi, mais en fait le mot japonais qui décrit le mieux depuis toujours cette technique de carbonisation est Yakisugi, qui dérive de la correcte prononciation du cèdre japonais (bot.Cryptomeria japonica). Les deux noms naissent de la différence d’écriture et de prononciation entre le Chinois et le Japonais antiques. Au fil du temps, c’est la parole Sho Sugi Ban qui s’est surtout imposée en Occident, pour identifier des planches de bois ainsi brûlées et traitées à l’huile.

ARDES a une meilleure résistance au feu d’environ 35%. Une fois brûlée la partie superficielle du matériau, il se crée naturellement une couche plus résistante à la flamme, qui contribue à maintenir froids les couches internes et donc à obtenir une meilleure robustesse et davantage d’isolation.

Oui, la gamme ARDES est certifiée au niveau européen Cs 1d0, c’est-à-dire idéale pour être utilisée même dans les espaces publics, soit ceux qui requièrent la majeure protection contre le feu.

Cette technique de préparation du bois est notable depuis des siècles car, bien qu’étant un procédé de production essentiellement naturel, il réussit à garantir une longévité extrêmement plus élevée que toutes les autres techniques utilisées pour préserver le bois dans les espaces extérieurs..

Non, le matériau est rendu indigeste aux parasites, qui ne réussissent pas à le décomposer.

Il est fondamentalement possible d’utiliser Ardes en toutes circonstances, autant dans la chaleur humide que dans le froid intense. Dans les projets qui exigent des longueurs de planches spécifiques, ou dans les endroits aux circonstances extrêmes (ex. front mer ou en altitude), il est conseillé d’utiliser plutôt du bois d’Accoya® brûlé, qui assume une plus grande stabilité dimensionnelle.

Non, le matériau traité par notre technique, s’il est correctement posé, résiste efficacement à l’eau et à l’humidité.

Contrairement aux autres types de bois, une fois brûlé, Ardes n’a besoin d’aucun entretien. Il est opportun cependant de protéger la couleur de l’agression des rayons UV de l’extérieur avec un simple traitement de surface, si nécessaire.

La couleur de Ardes tend à devenir grise dans le temps, comme processus physiologique de réaction à la lumière.

Nous avons préféré développer notre production autour de bois endémiques, situés sur le territoire européen pour réduire notre impact CO2 et pour une question de qualité l’option plus logique a été le Mélèze, car capable d’offrir une bonne stabilité dimensionnelle et durabilité. Dans tous les cas on parle de bois résineux, aptes à accueillir le traitement de brûlure, mais en offrant trois typologies exécrables différentes, le bois de mélèze présentera une texture « crocodile » le bois de sapin sera très présent le noeud, et enfin avec le bois d’Accoya nous aurons un effet de texture « terre aride »..

Nous devons faire une distinction, dans la collection Ardes, nous avons deux familles avec deux types de traitement différents, DRY et FLAME. La collection Ardes DRY n’est pas utilisé pour les sols car il est trop souple au piétinement et au niveau de résistance mécanique. Dans la collection FLAME, nous proposons également le profilage par decking.

Sur des épaisseurs de 20 mm dans certaines typologies ligneuses, quand on utilise une épaisseur standard, poser en vertical un lame de profilé M/F signifie appliquer la jointure entre lames sur des fixations trop fines, dans ces cas nous préférons des profilés latéraux R3Q, qui garantissent une majeure durée de vie du produit. Cependant, en augmentant l’épaisseur et en modifiant le type de bois, nous pouvons également garantir des profils avec système mâle/femelle (PRO/MUST). Sur la base des exigences du client, nous proposons la solution technique la plus appropriée.

Nos matériaux sont considérablement plus économiques comparés à n’importe quelle autre solution de bois traditionnel pour extérieur. Si l’on prend en compte l’économie d’entretien (nettoyage, brossage, limage, coûts des peintures et des échafaudages), et que l’on considère son extraordinaire longévité sur 20/25 ans, Ardes résulte très favorable au niveau qualité/prix par rapport à ses concurrents.

Non, Ardes n’impose pas de phases particulières d’installation. Le montage est prévu comme toute autre paroi ventilée en bois.

Non, il est nécessaire de l’ancrer sur une sous-structure afin de consentir une bonne circulation de l’air. De plus, la sous-structure doit avoir la bonne résistance et la durabilité nécessaire pour supporter le bois-même au fil des ans.

Professionnellement, laisser quelques millimètres entre les lames est une bonne pratique: elle permet au bois de se dilater un peu, notamment dans le profilage R3Q. Cet espace peut être protégé au préalable en installant notre propre filet anti-éclaboussures en aluminium noir qui empêche la nidation.

D’habitude ils sont appliqués dans les secteurs des façades ventilées, des contre-plafonds, des panneautages d’extérieur ou d’intérieur. Mais la Gamme Ardes peut également être appliquée au monde du mobilier ou des compléments Design au moyen de traitement particuliers de résinage.

Fondamentalement, la texture obtenue par la combustion. Dans la collection ARDES DRY, nous avons une surface qui est difficilement attribuable au bois, ressemble à une nouvelle matière, en outre, grâce à la technologie spéciale, appliquée exclusivement sur la ligne DRY, nous pouvons obtenir des effets esthétiques très matériques et nouveaux, en étendant son installation même à l’intérieur. Dans la collection FLAME, par contre, à travers la combustion, et le brossage ultérieur nous allons exalter le grain même du bois, cette collection est née seulement pour des applications en extérieur.

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Parce qu’Accoya, grâce au processus d’acétylation subit une transformation, l’essence de bois initiale, « Pino Radiata » est profondément transformée dans sa structure, Ce processus génère une transformation irréversible qui modifie au niveau moléculaire la structure du pore du bois qui en transforme en améliorant ses caractéristiques de durabilité et de stabilité dimensionnelle comme en général sa résistance dans le temps.

Le bois d’Accoya® est tiré d’arbres de pins radiata, cultivés en Nouvelle-Zélande, puis prélevés et transférés en Hollande, où ils sont soumis à un processus de modification connu comme d’acétylation. Cette procédure transforme le pin radiata en le matériau ligneux le plus stable du monde, l’Accoya®.

Ça s’appelle de l’acétylation ! Vous devez savoir que, le bois contient naturellement certains groupes acétiques, mais aussi beaucoup de radicaux hydroxyles, qui se lient avec l’eau et créent des problèmes. Pendant la production, le procédé utilise l’anhydride acétique – semblable à un vinaigre très fort – pour augmenter la proportion d’acétyle dans le bois, et substituer ainsi les hydroxyles. L’humidité interne au bois diminue considérablement, empêchant ainsi le matériau de gonfler ou de se contracter, et retirant ainsi le facteur Eau de la liste de ses problématiques.

Le bois Accoya® naît dans des forêts gérées durablement en Nouvelle-Zélande, en tant qu’espèce arborée appelée Pin Radiata. Ces forêts sont toutes approuvées par FSC, cette certification garantit une gestion forestière responsable, confirmant que la forêt est gérée de manière à préserver la diversité biologique et à bénéficier aux personnes et aux travailleurs locaux. Ces forêts sont toutes certifiées par le FSC. Le pin radiata connait une croissance très rapide rès rapide en particulier dans cette partie du monde, et il est envoyé de la NZ aux Pays Bas pour le processus de transformation.

L’approvisionnement en Nouvelle Zélande représente en effet un long parcours pour notre bois. Mais durant la phase de croissance, l’arbre compense CO2 pour au moins 26 ans. Ensuite, le mode de transport choisi est celui au moindre impact écologique, à savoir le maritime conforme aux normes IMO 2000, sur des navires efficients et à la navigation à vapeur lente, en mesure de réduire au maximum les émissions du voyage. Enfin, la durée de vie de nos produits réduit ultérieurement son impact écologique.

La qualité est notre objectif: de la certification KOMO à celle de Cradle et de Cradle Gold et d’autres encore. La «qualité» concerne autant nos produits que nos procédés, mais aussi notre priorité fondamentale de nous assurer que nos clients soient satisfaits d’Accoya®. Bien qu’il existe des espèces de bois à croissance plus rapide, comme par exemple le bambou, le pin que nous utilisons n’a pas été seulement choisi pour la rapidité de sa croissance, mais aussi pour son incroyable rendement. Ces facteurs confèrent à Accoya® la capacité de satisfaire la demande toujours plus importante de produits en bois respectueux de l’environnement, grâce à l’approvisionnement réalisé dans les forêts durables de la Nouvelle Zélande.

L’acide acétique est l’élément chimique du processus d’acétylation qui peut être utilisé dans nombre d’autres secteurs (dont l’alimentaire), ou qui peut se reconvertir en anhydride acétique, fermant donc le cycle de transformation et permettant ainsi un recyclage total.

Absolument pas, car c’est un élément chimique obtenu de la fermentation des vinaigres ; il est en général utilisé dans les industries alimentaires ou pharmacologiques sans problèmes. Si usé dans des espaces fermés, il est possible de percevoir une légère odeur de vinaigre au début, mais elle disparaitra en peu de jours.

Comme toutes les espèces ligneuses, le bois d’Accoya® sans verni change d’aspect avec le temps: à l’extérieur et exposé aux intempéries, il assume une élégante couleur grise argentée. A la différence des autres bois, cependant, les agents atmosphériques n’ont pas d’influence sur la durabilité, la performance ou la stabilité de l’Accoya®. Dans les premiers temps, pendant le processus d’adaptation aux conditions climatiques, la couleur peut sembler irrégulière à cause des différences de contact de lumière et de pluie avec toute la surface Accoya®. Mais avec le temps, la couleur devient uniforme et emprunte un gris argenté très raffiné, en mesure de durer des décennies.

Bien sûr. Tant que possible, le recyclage est toujours préférable à la combustion, car le produit final Accoya® est recyclable à 100%.

Les planchers et les revêtements en bois sont toujours soumis aux agents climatiques et requièrent un nettoyage régulier. Chaque terrasse requiert un intervalle d’entretien selon la position, l’intensité d’usage et les préférences personnelles. En temps normal, une couverture d’Accoya® devrait être nettoyée en profondeur une ou deux fois par an, de préférence au printemps, avec un lavage léger pendant l’année. Cela pourrait être plus fréquent si par exemple la terrasse est toujours à l’ombre (façade Nord de l’édifice), ou si elle se trouve dans les parages de forêts, de grands arbres ou d’arbustes. Le nettoyage d’une terrasse Accoya® peut s’effectuer à l’aide d’une brosse rigide et eau propre. La procédure est facilitée si la terrasse est mouillée en précédence, ainsi l’eau ramollit les éventuelles incrustations ou taches de saleté. Pour les taches plus persistantes, on peut utiliser un produit pour bois ; un produit au pH inférieur à 9, et rincer ensuite soigneusement le decking avec de l’eau propre. Les surfaces rabotées sont plus faciles à laver que les brutes. L’usage du karcher est inadapté pour les décorations du bois, et il est expressément déconseillé: le jet à haute pression peut abîmer les planches, indépendamment de leur espèce.

L’Accoya® est un bois modifié. Il naît comme un conifère, le pin radiata, mais il est modifié au travers d’une élaboration appelée acétylation. Même s’il reste un bois tout à fait normal, il est caractérisé par une incroyable longévité et n’est absolument pas toxique. Il a une durabilité de classe 1, il est extrêmement stable et structurellement certifié.

Pour l’Accoya® il existe plusieurs options de finition, depuis les huiles à l’aspect naturel jusqu’aux solutions de vernissage de haute prestation, en une infinité de couleurs. Il n’y a pas de marque spécifique de vernis à utiliser. Cependant, chaque marque peut présenter des produits plus adaptés à l’usage sur l’Accoya® en fonction des situations. Il est en outre important de suivre correctement les instructions de préparation et d’application des vernis et des colorants. Il est important de se rappeler que, une fois la couleur appliquée, il sera nécessaire de l’entretenir car, en extérieur, elle tendra à se détériorer à l’exposition des rayons UV.

Accoya® est un bois à très longue durabilité et énorme stabilité dimensionnelle sans besoin d’entretien. Il est cependant conseillé d’éviter le contact direct avec des matériaux métalliques (comme le fer ou le fer galvanisé et en général tous les métaux non protégés contre la corrosion), car il pourrait y avoir des phénomènes d’oxydation en mesure de laisser des taches sur la surface du bois.

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